Nous poursuivons notre voyage parmi les archives que nous avons conservées de cette glorieuse époque où, à Saint-Dié (Vosges), nous tentions une étrange expérience d’écriture au contact direct de la population de notre région d’origine. Le 3 octobre 1976 paraissait une courte biographie qui devait justement souligner les liens très étroits qui nous unissaient à toutes ces personnes auxquelles nous nous adressions, avec une certaine ferveur, il convient de le dire…
Les aléas des activités d’imprimerie ont été tels que, lorsque survient le dimanche 7 novembre 1976, et que l’article reproduit ci-dessous paraît dans les Annonces des Hautes-Vosges, l’ouvrage annoncé pour septembre est tout juste dans nos mains… L’émotion bien vite surmontée, le travail d’analyse pouvait donc commencer au su et au vu de toutes celles et de tous ceux qui décideraient de tenter l’expérience d’aller voir de près ce que peuvent être certaines procédures d’écriture et de lecture…
Sous la date du dimanche 23 janvier 1977, l’analyse du roman Une femme très ordinaire s’interrompait pour laisser place à deux avis de lecteurs : M. Bernard Perrot, employé de banque et M. Francis Viné, agent d’assurances…
Comme on le pressent : le coup de poignard dans le dos n’était plus très éloigné…
Michel J. Cuny
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1976 : Michel J. Cuny en rupture avec l’armée française
Une réflexion sur “Michel J. Cuny : crier dans le désert en attendant que la bêtise vienne vous y tuer…”