L’Allemagne victorieuse de la Seconde Guerre mondiale ?…

Michel J. Cuny

« L’Allemagne victorieuse de la Seconde Guerre mondiale ?
Question posée à l’Europe du XXIème siècle »

Editions Paroles Vives, 2019
(Livre électronique de 415 pages, accessible ici)

La France est désormais prisonnière de la systématisation économique, politique et militaire initiée dès le milieu du XVIIIème siècle par Frédéric II de Prusse que, déjà, Voltaire avait tenté de circonvenir…

Ceci n’a pas été, pour moi, une thèse de départ. J’ai voulu, à travers les vidéos de deux prévisionnistes économiques aux tendances idéologiques non vraiment affirmées, m’expliquer l’évolution récente de la France, et l’effondrement de sa base sociétale devenue criante dès le moment où eut éclaté la crise des Gilets jaunes en novembre 2018…

Il faut donc en convenir : la France n’est plus que la branche armée – plus ou moins folle, mais d’autant plus dangereuse pour le monde et pour elle-même – d’un conglomérat économique impérialiste passé sous domination allemande qui synthétise et amplifie l’Histoire de la Prusse dans ce qu’elle a de plus intelligent et de plus médité : autant Hegel que Marx… C’est dire l’essence de la chose…

Cependant qu’en face se lève peu à peu la fulgurance marxiste-léniniste d’une Chine qui a repris – avec un calme et une détermination plus ou moins stupéfiants pour les Occidentaux eux-mêmes – le flambeau de la lutte du travail contre le capital, portant la dynamique des forces productives au plus haut, et jusqu’au plus grandiose…

Tandis que la France n’offre à ses enfants que le rien qu’elle a fini par devenir… à moins qu’encore elle ne réussisse à faire couler, une fois de plus, le sang au sud de la Méditerranée…

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Première partie : Durant la guerre menée en Libye, de façon criminelle, par Sarkozy en 2011, la France travailleuse buvait la tasse soigneusement préparée par l’Allemagne.

Deuxième partie : Sarkozy, pour les roulements d’épaule, Hollande, pour la bouche en cœur… Et l’Allemagne, pour les cordons de bourse plate.

Troisième partie : Comment et pourquoi l’Allemagne a-t-elle fini par gagner la guerre de l’espace vital nécessaire à la domination planétaire de son économie, et dans quel état la France est-elle sortie de ce processus ?

Quatrième partie : Sous la rente immobilière qui explose… cette France qui se laisse démonter par morceaux, comme on ferait d’une vulgaire baraque à frites, alors qu’il s’agit là de ce qui a longtemps assuré la vie de tout un peuple.

Cinquième partie : Petite visite dans les eaux profondes où se déroulent les véritables ébats de la finance internationale, et où s’exerce, à plein, un droit de vie et de mort sur ces pauvres peuples qui n’en veulent rien savoir… sauf la Chine réunie autour de son parti communiste.

Sixième partie : Tandis qu’en France, deux types de population s’affrontent autour de ce qui abrite les vies familiales, et ceci jusqu’à ce que quelques-unes d’entre celles-ci finissent par se retrouver à la rue, comment l’impérialisme allemand travaille-il à se renforcer ?

Septième partie : Un peuple complètement à la dérive… Une jeunesse sans aucun avenir digne de ce nom… Une Histoire passée sous contrôle allemand… Et comment s’enfoncer davantage pour sauver l’impérialisme français ?

Huitième partie : Ce sont bien les anciens crimes que la population française a laissé commettre par sa bourgeoisie impérialiste (Charles de Gaulle ayant été dûment appuyé par le Parti communiste dès le mois d’août 1943) qui refluent aujourd’hui vers elle à travers la domination allemande.

Neuvième partie : C’est en connaissance de cause que le Parti communiste français a offert, à la France impérialiste prônée par De Gaulle, une fonction publique aux ordres (noyau dur des classes moyennes) et le couvre-chef qu’il lui fallait : l’École Nationale d’Administration (ENA).

Dixième partie : Le cœur de l’actuel Empire allemand est bien toujours le complexe économique que la France avait cru pouvoir arracher à l’Allemagne au lendemain de chacune des guerres mondiales… L’une comme l’autre ont donc été perdues.

Onzième partie : Puissance planétaire détachée au-devant  d’une Europe désormais totalement ignorante de ce que peut bien être le marxisme-léninisme,  l’Allemagne voit venir à elle une Chine devant laquelle la France ne sait qu’aboyer sans y rien comprendre… Et pourtant…

Ce livre électronique peut vous parvenir en quelques heures, partout dans le monde entier (il suffit de passer par ce lien, déjà donné ci-dessus).

Michel J. Cuny


12 réflexions sur “L’Allemagne victorieuse de la Seconde Guerre mondiale ?…

    1. Merci pour votre commentaire. Vous avez raison. Il s’agissait même d’une capitulation sans conditions.
      Tout le problème est là. Cela voulait dire que l’Allemagne ne pouvait pas discuter les éventuelles conditions. Les conditions allaient être celles qu’imposeraient les vainqueurs.
      Conditions de quoi ?… Conditions de paix… Conditions pour signer un traité de paix… Ce qui n’a pas été fait. Ainsi, rétrospectivement, le 8 mai s’est transformé en simple armistice… La guerre se poursuivait… contre l’URSS.
      L’Histoire exige de rétablir les processus dialectiques. Celui qui traverse le 8 mai 1945 est énorme, et il nous concerne aujourd’hui encore : en tout cas, les dirigeants allemands et russes en ont bien conscience, eux…

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