Je reprends le fil des démarches que j’ai accomplies, sitôt après avoir mis le point final au roman Une femme très ordinaire dans les premiers jours de février 1976.
Comme je l’ai montré dans le précédent article, je ne perdais pas de vue la scène nationale. En écrivant à l’un des plus grands critiques littéraires de l’époque, Maurice Nadeau, j’indiquais assez nettement ma volonté de m’inscrire dans un travail de longue haleine et d’aussi haute portée que possible.
Mais je me suis également tourné vers la presse régionale telle qu’elle se manifestait dans ma ville de naissance et de résidence : Saint-Dié (Vosges, photographie jointe), dont je crois ne pas trop me tromper en écrivant qu’elle comptait alors environ 25.000 habitants.
Je me suis tout d’abord adressé à l’agence déodatienne de La Liberté de l’Est…
Puis, un mois plus tard, jour pour jour, à L’Est Républicain…
Comment aurait-on pu me répondre le moindre mot ?…
Michel J. Cuny
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Michel J. Cuny : un écrivain peut-il travailler directement au contact du peuple dont il est issu ?
Une réflexion sur “Michel J. Cuny et les agences vosgiennes de la presse régionale en 1976…”