C – Chant

La poésie lyrique
a pris sa source dans la Mésopotamie devenue, dans sa superficie majeure,
l’Irak actuelle.

Georges Brassens, descendant, en ligne directe, des Troubadours,
a inscrit sa vie dans l’histoire de l’amour courtois ;

Jacques Brel, écorché vif, a chanté l’amour jusqu’à la déchirure
dans une époque où celui-ci se faisait de plus en plus inconstant ;

Léo Ferré, entre l’eau et le feu, a pris son envol
dans la poésie susurrée chantée, hurlée, jusqu’à s’y perdre parfois…

Tous trois ont allié, à leur manière, les mots et les sons.
Parmi la génération des jeunes gens et des jeunes filles qui,
en pleine saison des amours,
leur ont fait cortège, ceux et celles qui ont gardé vivante, après leur disparition,
la quintessence de leur production,
se sont ouvert des horizons nouveaux dont, peut-être,
ils et elles n’avaient pas mesuré tout de suite l’extrême importance.

Suite : Brassens, Brel, Ferré – Trois voix pour chanter l’amour 

Michel J. Cuny – Françoise Petitdemange

Brassens, Brel, Ferré

1 - Georges Brassens (1964), Erling Mandelmann

 

 

1' - Jacques Brel    1'' - Léo Ferré.jpg


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