Du caractère pervers d’un certain patriotisme…
28 mars 2017
C’est déjà Ernest Renan qui s’exclamait en 1857 : « Quel charme de voir dans les chaumières et dans les maisons vulgaires, où tout est écrasé sous la préoccupation de l’utile, des figures idéales, des images qui ne représentent rien de réel ! Quelle douceur pour l’homme courbé sous un travail de six journées de venir … Lire la suite Du caractère pervers d’un certain patriotisme…