VII – Il y a cinq ans… En Libye

2010-2011, des groupes de mouchards français, britanniques, états-uniens, suédois… étaient entrés, de façon frauduleuse, sur le sol libyen. En février, de prétendus manifestants pacifiques, qui, en réalité, étaient organisés en bandes armées, attaquaient les bâtiments de l’armée et de la police du peuple, et s’en prenaient à la population elle-même dans les rues de Benghazi.

Aussitôt, les chefs d’États français, britannique, états-unien, aiguillonnés par la FIDH (Fédération Internationale des Droits de l’Homme), relayés par les médias-menteurs, propageaient l’idée que « Mouammar Kadhafi » faisait tirer sur « son peuple », alors que le peuple libyen ne faisait, par son armée et sa police, que riposter aux attaques à main armée pour défendre les institutions légitimes de son pays et se défendre lui-même contre les groupes hétéroclites : d’anciens membres d’Al-Qaïda, ayant combattu les armées anglo-saxonnes et françaises en Afghanistan, et revenus en Libye, côtoyaient de prétendus rebelles, manipulés par des exilés financés par la CIA, pour se retourner contre leur propre pays – la Grande Jamahiriya Arabe Libyenne Populaire Socialiste –  en se rangeant du côté des États pseudo-démocratiques, capitalistes, qui, quelques décennies auparavant encore, colonisaient l’Afrique dont les pays du Maghreb comme la Libye.

Tandis que l’armée et la police du peuple parvenaient, vers la mi-mars, à ramener le calme, le président de la république française, Nicolas Sarkozy (dont la mère est une juive sépharade), piqué aux fesses par la pseudo-socialiste Martine Aubry et le diable Bernard-Henri Lévy (qui affiche son sionisme notamment contre la France), décidait, en traître, d’attaquer militairement ce pays arabo-africain qu’est la Libye, au mépris de tout recours à la diplomatie, et sans avoir fait la moindre déclaration de guerre. Le 19 mars, il lançait les bombardiers de l’armée française sur le peuple libyen, prenant de court tous les autres chefs d’États dans le monde, y compris les chefs occidentaux qu’il avait conviés à Paris pour discuter de la Libye, mettant ainsi ses interlocuteur(rices) devant le fait accompli.

Voici le premier texte que j’écrivis, au lendemain de ce premier acte belliqueux de la France, mon pays, contre la Libye.

C’était le 20 mars 2011.

Suite : VII – 1. Le peuple libyen sous les bombes humanitaires occidentales

Françoise Petitdemange